BOITE VIOLETTES CRISTALLISEES TOULOUSE 60 GRS
10,90 €
(181,67 € kg)
TTC
BOITE VIOLETTES CRISTALLISEES TOULOUSE 60 GRS
Chaque fleur est cueillie à la main, enrobée de sucre pour être confite.
Ce produit rare est très demandé pour décorer les gâteaux, pour déguster en "bonbons" ou pour mettre dans une flûte de champagne, lors de l'apéritif. Les bulles de champagne font dissoudre le sucre qui enrobe la fleur et celle-ci remonte doucement à la surface. On parle alors de Kir Royal Toulousain.
Parsemez quelques violettes cristallisées sur des carottes vichy.
Boite ronde 60 grs
Chaque fleur est cueillie à la main, enrobée de sucre pour être confite.
Ce produit rare est très demandé pour décorer les gâteaux, pour déguster en "bonbons" ou pour mettre dans une flûte de champagne, lors de l'apéritif. Les bulles de champagne font dissoudre le sucre qui enrobe la fleur et celle-ci remonte doucement à la surface. On parle alors de Kir Royal Toulousain.
Parsemez quelques violettes cristallisées sur des carottes vichy.
Boite ronde 60 grs
Disponible
Ingrédients : Sucre glace et cristal, agent d'enrobage (gomme arabique), pétales de Violettes fraiches (2%), colorant E120, colorant E133, arôme naturel.
Toulouse et la Violette, une histoire qui dure depuis 1850 !
Une légende raconte qu'un soldat français, parti en campagne militaire sous Napoléon, revint d'Italie (région de Parme) avec une Violette, pour l'offrir à sa bien-aimée et se faire pardonner son absence.
Les maraichers toulousains de l'époque s'intéressent alors à cette petite fleur odorante et double, qui a la particularité de ne fleurir qu'en hiver, avec l'arrivée du froid (de Décembre à Mars).
Pour l'époque, cette période de floraison est unique en France et les fleurs sont rares en hiver.
Se développe alors une culture importante dans la région nord de Toulouse
En quelques décennies, la Violette s'exporte aux confins de l'Europe tout au long de l'hiver et Toulouse devient alors renommée pour ce savoir-faire unique.
Toulouse et la Violette, une histoire qui dure depuis 1850 !
Une légende raconte qu'un soldat français, parti en campagne militaire sous Napoléon, revint d'Italie (région de Parme) avec une Violette, pour l'offrir à sa bien-aimée et se faire pardonner son absence.
Les maraichers toulousains de l'époque s'intéressent alors à cette petite fleur odorante et double, qui a la particularité de ne fleurir qu'en hiver, avec l'arrivée du froid (de Décembre à Mars).
Pour l'époque, cette période de floraison est unique en France et les fleurs sont rares en hiver.
Se développe alors une culture importante dans la région nord de Toulouse
En quelques décennies, la Violette s'exporte aux confins de l'Europe tout au long de l'hiver et Toulouse devient alors renommée pour ce savoir-faire unique.